« Notre rêve : un monde sans pauvreté »
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Anastasie
Quand nous étions en Moselle
Voir ma tante chez oncle Carmélo
Tout l’or dormant dans les planques
Tout l’argent des grandes banques
CARRIERES UNIVERSITAIRES
ENSEIGNEMENT ET RECHERCHE
Lille 2 : avant le 30 avril
Forum ELIT’2010
Vendredi 23 avril 2010, à ESCP EuropeMétro : Rue Saint-Maur, Ligne 3
Aucun dossier ne sera accepté après la clôture des inscriptions soit le 19 avril 2010 minuit
Te he hecho daño, alma míahe desgarrado tu alma.
L’Acte constitutif de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), énonce en son Préambule que les Etats membres de ladite Organisation conviennent d’œuvrer au développement du bien-être mondial « par une action particulière et collective, afin […] de libérer l’humanité de la faim ». Vœux pieux ? Rien n’est moins sûr. Tant que la Terre sera peuplée d'individus qui s’emploient à produire et par d’autres, lamentablement condamnés à consommer, la lutte contre la faim et, a fortiori la prétention de libérer l’humanité de sa mortelle étreinte échapperont toujours au champ des certitudes. Il suffit de voir les images inhumaines dont la presse étrangère raffole et, pour les natifs de pays pauvres, se souvenir un tant soit peu du quotidien, pour se convaincre du drame que constitue la faim dans le Monde. Non contente d’avoir failli à sa mission (jusque-là !), la FAO lance un programme à court terme 2006-2011 proclamant avec fierté dans les cinq (5) langues officielles des Nations Unies : helping to build a world without hunger. Oui, nul ne peut contester à la FAO la vocation de bouter la faim hors de ce bas monde. Mais la tragédie qui nous attriste a le malheureux mérite de rendre le Citoyen perplexe. C’est à cet effet, que la contribution, la responsabilité, l’engagement des associations humanitaires sont en jeu. La lutte contre la faim devrait être déclarée Cause nationale, opposable à tout Etre humain. A l’instar de la présomption de citoyenneté qui stipule que « Nul n’est censé ignorer la Loi », une présomption d’Humanité devrait s’imposer aux Habitants de la Terre : « Nul n’est censé ignorer la faim » ! L’un des échecs de la FAO semble être précisément la poursuite de deux objectifs résolument inconciliables. On ne peut, raisonnablement, s’investir concomitamment pour l’essor de l’économie mondiale et pour l’éradication de la faim, la (re)distribution des productions agricoles ne sera jamais équitable tant que l’idéologie capitaliste impliquera un face-à-face irrémédiable entre Producteur (vendeur, aux termes qu’il veut) et Consommateur (acheteur, s’il le peut). Le sourire séduisant du capitalisme, qui promet émulation et compétitivité, apparaît ici comme la boulimie du diable sous l’auréole de l’ange (progrès, croissance, développement). C’est ici que le premier rempart de l’éthique, de la dignité et de la vie est promptement interpellé pour combattre cette ignominie qu’est la faim, de surcroît, la sous-alimentation des enfants ; pour la combattre à mains nues, dans un corps à corps permanent et forcément vainqueur . Et ce rempart, c'est le Citoyen! Telle est la force du cri de cœur poussé par M. Essono Ondo, Secrétaire Général de l’Association Enfants 2000 de Nancy, en Lorraine, à travers une question qui appelle à l’insurrection : « Les enfants meurent de faim : que faisons-nous ? »
La chanson d’amitié
J’ai écrit cette chanson d’amitié
Le jour où tu es partie à Poitiers
Le souvenir que j’ai de toi
Le souvenir que j’ai de toi est un sourire
Todo tu cuerpo tiene
copa o dulzura destinada a mí.
Sais-tu pourquoi je t’aime ?
Tu m’apportes tant en me donnant si peu
TODO el día una línea y otra línea,un escuadrón de plumas,un navíopalpitaba en el aire,atravesabael pequeño infinitode la ventana desde donde busco,interrogo, trabajo, acecho, aguardo.La torre de la arenay el espacio marinose unen allí, resuelvenel canto, el movimiento.Encima se abre el cielo.Entonces así fue: rectas, agudas,palpitantes, pasaronhacia dónde? Hacia el Norte, hacia el Oeste,hacia la claridad,hacía la estrella,hacia el peñón de soledad y saldonde el mar desbarata sus relojes.Era un ángulo de avesdirigidasaquella latitud de hierro y nieveque avanzabasin treguaen su camino rectilíneo:era la devorante rectitudde una flecha evidente,los números del cielo que viajabana procrear formadospor imperioso amor y geometría.Yo me empeñé en mirar hasta perderlos ojos y no he vistosino el orden del vuelo,la multitud del ala contra el viento:vi la serenidad multiplicadapor aquel hemisferio transparentecruzado por la oscura decisiónde aquellas aves en el firmamento.No vi sino el camino.Todo siguió celeste.Pero en la muchedumbre de las avesrectas a su destinouna bandada y otra dibujabanvictoriastriangularesunidas por la voz de un solo vuelo,por la unidad del fuego,por la sangre,por la sed, por el hambre,por el frío,por el precario día que llorabaantes de ser tragado por la noche,por la erótica urgencia de la vida:la unidad de los pájarosvolabahacia las desdentadas costas negras,peñascos muertos, islas amarillas,donde el sol dura más que su jornaday en el cálido mar se desarrollael pabellón plural de las sardinas.En la piedra asaltadapor los pájarosse adelantó el secreto:piedra, humedad, estiércol, soledad,fermentarán y bajo el sol sangrientonacerán arenosas criaturasque alguna vez regresarán volandohacia la huracanada luz del frío,hacia los pies antárticos de Chile.Ahora cruzan, pueblan la distanciamoviendo apenas en la luz las alascomo si en un latido las unieran,vuelan sin desprendersedel cuerpomigratorioque en tierra se dividey se dispersa.Sobre el agua, en el aire,el ave innumerable va volando,la embarcación es una,la nave transparenteconstruye la unidad con tantas alas,con tantos ojos hacia el mar abiertosque es una sola paz la que atraviesay sólo un ala inmensa se desplaza.Ave del mar, espuma migratoria,ala del Sur, del Norte, ala de ola,racimo desplegado por el vuelo,multiplicado corazón hambriento,llegarás, ave grande, a desgranarel collar de los huevos delicadosque empolla el viento y nutren las arenashasta que un nuevo vuelo multiplicaotra vez vida, muerte, desarrollo,gritos mojados, caluroso estiércol,y otra vez a nacer, a partir, lejosdel páramo y hacia otro páramo.Lejosde aquel silencio, huid, aves del fríohacia un vasto silencio rocallosoy desde el nido hasta el errante número,flechas del mar, dejadmela húmeda gloria del transcurso,la permanencia insigne de las plumasque nacen, mueren, duran y palpitancreando pez a pez su larga espada,crueldad contra crueldad la propia luzy a contraviento y contramar, la vida.
La reine de Nubie
Femme de Fer, des mines, des cratères ;
Afrika, Abeo and Delbert B.
My First born and namesake
Pour toi !Il arrive un moment dans ta vie où tu réalises qui est important pour toi, qui ne l'a jamaisété,qui ne l'est plus et qui le sera toujours
AMICALEDES GABONAIS DE NANCY
ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE DU 03 AVRIL 2010-04-02
CASA
Tal vez ésta es la casa en que viví
cuando yo no existí ni había tierra,
DIEU M’A ECRIT
Le premier avril deux mille dix,
Un Accusé de Réception porte