Caillot de sang / attaque cérébrale - Ils ont découvert un quatrième indicateur, la langue.
Je vais continuer de transférer ce document toutes les fois que je le recevrai !
ATTAQUE CÉRÉBRALE : pour ceux qui comprennent l'anglais, rappelez-vous des trois premières lettres du mot STROKE (qui veut dire attaque). S.T.R.
Faites circuler ce courriel, vous pourriez sauver la vie d'un de vos amis; c'est sérieux !
COMMENT IDENTIFIER UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE:
Pendant un BBQ, une de nos amies a titubé et trébuché - Elle nous a assuré qu'elle se portait bien (nous lui avons offert d'appeler un CLSC ou un médecin). Elle nous a dit qu'elle avait seulement trébuché sur une tuile à cause de ses nouveaux souliers.
Nous l'avons aidé à se nettoyer et nous lui avons donné une autre assiette. Même si elle avait été un peu secouée, Lise avait l'air d'apprécier son après-midi.
Plus tard, le mari de Lise nous a appelé pour nous dire que sa femme avait été transportée à l'hôpital - (à 18h00, Lise est décédée) Elle avait eu une attaque dans l'après-midi au BBQ. Si nous avions su identifier les signes d'une telle attaque, peut-être que Lise serait toujours en vie aujourd'hui. Certaines personnes ne meurent pas, mais elles finissent lourdement handicapées à la place.
Ça ne prend qu'une minute pour lire ceci...
Un neurologiste a dit que s'il pouvait soigner une personne victime d'une attaque cérébrale à l'intérieur de 3 heures, il pouvait renverser totalement les dommages.... totalement !
Il a dit qu'il est assez difficile de reconnaitre une attaque cérébrale, la diagnostiquer et emmener le patient à l'hôpital à l'intérieur de 3 heures.
RECONNAITRE UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE :
Sachez retenir ces trois étapes
S.T.R., lisez et apprenez !
Quelques fois les symptômes d'une attaque cérébrale sont difficiles à identifier. Malheureusement, le manque de vigilance est synonyme de désastre dans certains cas.
La victime d'une telle attaque pourrait souffrir de sévères dommages au cerveau si les personnes autour d'elle n'arrivent pas à identifier ces symptômes.
Maintenant, les médecins disent qu'un spectateur peut reconnaître une attaque cérébrale en demandant trois questions simples :
S * (smile) demandez à la personne de sourire.
T * (Talk) demandez à la personne de parler, de dire une phrase simple, avec cohérence. (Exemple : il fait beau aujourd'hui)
R* (raise both arms) demandez lui de lever les deux bras.
Si la personne a de la difficulté à exécuter l'une ou l'autre de ces tâches, appelez immédiatement les secours et décrivez les symptômes à la personne au bout de la ligne.
Nouveau signe d'une attaque cérébrale -----
Tirer la langue !
À NOTER : Un autre "signe" d'une attaque cérébrale a été découvert : demandez à la personne de tirer la langue. Si la langue est croche, si elle va plus d'un côté que de l'autre, c'est aussi une indication d'une attaque cérébrale.
Un cardiologue a dit que si chaque personne qui reçoit ce courriel l'envoie à 10 personnes; vous pouvez parier qu'au moins une vie sera sauvée.
J'ai fait ma part, et toi ?
[Envoyé par J. MENE BERRE]
Je suis en voyage
Tu trouveras sous le pot de bonsaï
La clef de notre cage
Je suis parti comme un Saï
Assumer seul mon destin de Sentinelle
En suivant les chemins solitaires
Aux parfums de pin et de citronnelle
Je serai seul les yeux vers la Terre
De là où je suis mes pensées fuient
Vers toi portées par des ailes d’ange
Quand le soleil à l’aurore nuit
A la nuit blafarde de la vieille grange
Au bout de l’autel où je veille seul
Je pense aux chants du grand tilleul
Dont les branches caressent le toit de notre chambre
Je pense à toi de ton échappée revenue
Dormant la tête vers le mur à demi-nue
Le ventilateur blanc tremblant de tous ses membres
Vers le bureau et ses rayons dessinant des ombres
Noires sur ton dos de plâtre devenu tableau
Comme un mirage coquin offert en cadeau
Je reviens bientôt sculpter chaque fuseau
Chaque rayon chaque signe et onde
Avec un burin noir et une encre blonde
Graver sur ton dos les cinq lettres du Monde
Je reviens bientôt assourdi
Par le chant des lessiveuses
Et d'autres machines baveuses
Les pieds raides et engourdis
Par de longues et arides nuits de veille
Me reposer sur ton dos et tes merveilles
Je reviens bientôt presser chaque centimètre-carré
De ta peau douce aux frissons déclarés
Pilote de frémissements électriques
Vecteur d’orages épileptiques
Qui font exploser la nuit
En pluie d’étoiles sans bruit
Je reviens bientôt dérober ton cœur comme
Un voleur ensorcelé par le parfum d'une pomme !
Arthur BENGA NDJEME : PARIS, le 08 Juin de l’An X, 03h 27
Lien général des Universités concernées:
http://guilde.jeunes-chercheurs.org/Public/ATER/2010/fiches/
[Cela ne coûte rien d'envoyer sa candidature]
Après plus de 50 ans de mariage, Albert meurt.
Un an et demi plus tard, Ginette meurt aussi et s'en va au ciel.....
Elle y retrouve son mari et court vers lui en lui disant :
- Mon chériiiiii, que c'est bon de te revoir !!!!!
Et lui de se sauver en lui criant :
- Fais pas chier Ginette, le Curé avait été clair : "jusqu'à ce que la mort nous sépare" !!!!!
[Envoi de Annick OZENGA]
JORF n° 104 du 5 mai 2010 Texte n°12
Décret n° 2010-448 du 3 mai 2010
portant publication de l’accord
entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République
gabonaise relatif aux échanges de jeunes professionnels (ensemble une annexe),
signé à Libreville le 24 février 2010 (1)
NOR : MAEJ1010868D
Le Président de la République,
Sur le rapport du Premier ministre et du ministre des affaires étrangères et européennes,
Vu les articles 52 à 55 de la Constitution ;Vu le décret n° 53-192 du 14 mars 1953 modifié relatif à la ratification et à la publication des engagements internationaux souscrits par la France ;Vu le décret n° 2008-900 du 3 septembre 2008 portant publication de l’accord entre leGouvernement de la République française et le Gouvernement de la République gabonaise
relatif à la gestion concertée des flux migratoires et au codéveloppement, signé à Libreville le 5 juillet2007,
Décrète :
Art. 1 - L’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de laRépublique gabonaise relatif aux échanges de jeunes professionnels (ensemble une annexe),
signé à Libreville le 24 février 2010, sera publié au Journal officiel de la République française.
Art. 2 - Le Premier ministre et le ministre des affaires étrangères et européennes sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel
de la République française.
Fait à Paris, le 3 mai 2010.
NICOLAS SARKOZY
Par le Président de la République :
Le Premier ministre,
FRANÇOIS FILLON
Le ministre des affaires étrangères
et européennes,
BERNARD KOUCHNER
(1) Le présent accord est entré en vigueur le 24 février 2010.
A C C O R D
ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
ET LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE
RELATIF AUX ÉCHANGES DE JEUNES PROFESSIONNELS
(ENSEMBLE UNE ANNEXE)
Le Gouvernement de la République française, d’une part ;
Et Le Gouvernement de la République gabonaise, d’autre part ;
Ci-après désignés les Parties,
Conscients du caractère hautement profitable que présente pour la coopération et la compréhension mutuelle entre les deux États le développement d’échanges de jeunes
professionnels souhaitant exercer sur le territoire de l’autre État, dans leur spécialité, une activité professionnelle salariée pendant une durée n’excédant pas 18 mois ;
Se référant aux dispositions de l’Accord relatif à la gestion concertée des flux migratoires etau codéveloppement signé le 5 juillet 2007 entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République gabonaise et notamment à l’article 3.1 ;Conviennent de ce qui suit :
Article 1er
Les deux Parties conviennent de développer entre elles des échanges de jeunes
professionnels français ou gabonais, âgés de 18 à 35 ans, déjà engagés dans la vie active ou à la
recherche d’une première expérience professionnelle, qui se rendent dans l’autre État pour
améliorer leurs perspectives de carrière grâce à une expérience de travail salarié dans une
entreprise qui exerce une activité de nature sanitaire, sociale, agricole, artisanale, industrielle,
commerciale, libérale ou de service et approfondir leurs connaissances de la société d’accueil.
Ces jeunes professionnels sont autorisés à occuper un emploi sous couvert d’un contrat de
travail conclu avec une entreprise sise sur le territoire de l’autre Partie, dans les conditions prévues
par le présent Accord, sans que soit prise en considération la situation du marché du travail. Dans
le cas de professions réglementées, les jeunes professionnels sont soumis aux conditions
d’exercice définies par l’État d’accueil.
Article 2
Les jeunes professionnels doivent être titulaires d’un diplôme correspondant à la qualification
requise pour l’emploi offert ou posséder une expérience professionnelle dans le domaine d’activité
concerné.
Les demandes formulées par les jeunes professionnels français ou gabonais pour bénéficier
du présent Accord sont instruites dans les conditions prévues à l’annexe au présent Accord.
Article 3
La durée autorisée de travail varie de six à douze mois et peut faire l’objet d’une ou plusieurs
prolongations dans la limite d’un total de 18 mois.
Les jeunes professionnels français et gabonais ne peuvent poursuivre leur séjour sur le
territoire de l'État d’accueil à l’expiration de la période autorisée d’emploi. Chaque Partie
contractante adopte toute mesure visant à assurer l’effectivité du retour du jeune professionnel
dans son pays et en informe l’autre Partie.
Article 4
Pour faciliter leur formation et leur insertion dans leur milieu de travail, le nombre de jeunes
professionnels français et gabonais admis de part et d’autre ne devra pas dépasser 100 par an.
Toute modification de ce contingent pour l’année suivante peut être décidée par simple échange
de lettres entre les autorités gouvernementales compétentes des deux États avant le 1er décembrede l’année en cours.
Article 5
Les jeunes professionnels reçoivent de leur employeur un salaire équivalent à celui qui est
versé aux ressortissants de l'État d’accueil travaillant dans les mêmes conditions.
Ils bénéficient de l’égalité de traitement avec les ressortissants de l'État d’accueil pour tout
ce qui concerne l’application des lois, règlements et usages régissant les relations et conditions de
travail, la protection sociale, la santé, l’hygiène et la sécurité au travail.
Article 6
Le conjoint et les enfants des jeunes professionnels ne peuvent bénéficier de la procédure
de regroupement familial.
Article 7
Les autorités gouvernementales chargées de la mise en oeuvre du présent Accord sont :
Pour la Partie française ; le ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale
et du développement solidaire ;
Pour la Partie gabonaise : le ministère du travail.
Elles s’informent mutuellement de l’organisme qu’elles auront désigné dans leur État pour
mettre en oeuvre les dispositions du présent Accord.
Elles font tous leurs efforts pour que les jeunes professionnels puissent recevoir des
autorités administratives compétentes, dans les meilleurs délais, les documents prévus par la
législation en vigueur dans l'État d’accueil permettant d’y entrer, d’y séjourner et d’y travailler et
pour que les difficultés qui pourraient éventuellement surgir soient réglées le plus rapidement
possible.
Le suivi de l’application du présent Accord et, le cas échéant, le règlement des différends qui
pourraient naître au sujet de son interprétation, ou de son application, seront assurés par le comité
de suivi prévu par l’article 7 de l’Accord conclu le 5 juillet 2007 entre le Gouvernement de laRépublique française et le Gouvernement de la République gabonaise relatif à la gestion
concertée des flux migratoires et au codéveloppement.
Article 8
Le présent Accord entre en vigueur à la date de sa signature.
Il peut être modifié par accord des deux Parties.
Il est conclu pour une durée indéterminée.
Il peut être dénoncé par l’une ou l’autre des Parties avec un préavis de trois mois par la voie
diplomatique. La dénonciation ne remet pas en cause les droits et les obligations des Parties
résultant de la mise en oeuvre du présent Accord sauf si les Parties en décident autrement d’un
commun accord en cours d’exécution.
En foi de quoi, les soussignés autorisés par leurs gouvernements respectifs ont signé le
présent Accord.
Fait à Libreville, le 24 février 2010 en double exemplaire original en langue française.
Pour le Gouvernement de la République française:
BERNARD KOUCHNER
Ministre des Affaires étrangères et européennes
Pour le Gouvernement de la République gabonaise:
PAUL TOUNGUI
Ministre d'État,
Ministre des Affaires
étrangères, de la Coopération,
de la Francophonie
et de l’Intégration régionale
A N N E X E
Les jeunes professionnels qui désirent bénéficier des dispositions du présent Accord doivent
en faire la demande à l’organisme chargé dans leur État de centraliser et de présenter les
demandes des jeunes professionnels.
Les jeunes professionnels doivent préciser dans leur demande toutes les indications
nécessaires sur leurs diplômes ou leur expérience professionnelle et faire connaître également
l’emploi pour lequel ils sollicitent l’autorisation de travail.
Il appartient à l’un ou l’autre organisme d’examiner cette demande et de la transmettre,
lorsque les conditions prévues par le présent Accord sont remplies, à l’organisme de l’autre État,
en tenant compte du contingent annuel auquel il a droit.
Ces organismes font tout leur possible pour assurer l’instruction des demandes dans les
meilleurs délais.
Pour faciliter les recherches d’emploi des candidats, les organismes mettent à leur
disposition la documentation nécessaire pour la recherche d’un emploi et prennent toutes
dispositions utiles afin de faire connaitre aux entreprises les possibilités offertes par le présent
Accord. Des informations sur les conditions de vie et de travail dans l'État d’accueil sont également
mises à la disposition des intéressés.
*
* *
Commentaires