GABON/FMI
[SEM. Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l'Etat]
Comme prévu, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a conclu les consultations au titre de l’article IV avec le Gabon le 13 février 2013 dernier. S’il fallait résumer en une seule phrase ce rapport, on dirait qu’à travers les efforts continus de tous les acteurs économiques gabonais, l’avenir s’annonce prometteur… et en adéquation parfaite avec le projet de société du président Ali Bongo Ondimba basé sur l’émergence du pays à l’horizon 2025.
Dans ses conclusions, le FMI affirme en préambule que « les conditions économiques actuelles demeurent favorables » au Gabon. Actuellement, le Gabon « est le quatrième pays d'Afrique subsaharienne » au niveau du revenu par habitant et, « même si l'économie est fortement tributaire du pétrole », les résultats économiques récents du Gabon sont solides. L’une des raisons : « l'activité économique hors pétrole qui a enregistré de bons résultats, en particulier dans les industries extractives, la transformation du bois et la construction, de sorte que la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel a atteint 7 % en 2010–11.» Rien que dans la filière bois, plus de 3000 emplois ont été créés en moins de 3 ans.
Par ailleurs, le FMI souligne que, « malgré une forte hausse des prix alimentaires au milieu de l'année 2012, (…) l’inflation reste maîtrisée et conforme aux critères de convergence de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale, à environ 3 % en moyenne annuelle. » Pour lutter contre la vie chère, le Président gabonais a notamment décidé en septembre 2012 de suspendre les taxes et les droits de douane sur neuf catégories de produits de première nécessité. Une option courageuse qui a déjà produit ses premiers effets positifs ces dernières semaines puisque la courbe des prix s’est inversée.
L’institution souligne également l’augmentation des dépenses publiques de 70% entre 2009 et 2012. Et les « dépenses d'équipement ont triplé, ce qui s'explique par les investissements publics liés au programme de développement économique. » Ces investissements publics, qui vont s’accentuer dans les prochaines années, auront des effets positifs car ils amélioreront « les infrastructures, le climat des affaires et le marché du travail. »
Le rapport souligne une donnée que le Gabon doit prendre en compte : « la possibilité d'un ralentissement de l'activité mondiale qui pourrait engendrer une baisse prolongée des cours du pétrole et du manganèse, à laquelle les autorités devraient faire face avec des amortisseurs budgétaires limités. »
Autre satisfaction soulignée par les rapporteurs : « le lancement d'un plan de développement à long terme qui a pour objectif de faire du Gabon une économie de marché émergente et diversifiée. »
Ce plan, qui contient des « mesures et des réformes ambitieuses » va favoriser une croissance plus solidaire et « mettre en place des volants de sécurité adéquats face à la volatilité des cours du pétrole. » Enfin, le développement du secteur privé est une priorité partagée par le FMI et l’Etat gabonais. Il joue un rôle majeur car il permet de « créer des emplois et de faire reculer la pauvreté. » Idem pour la « lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme » : ce combat fait partie des priorités du gouvernement. L’avenir en confiance : voilà un slogan qui sied bien à ce début d’année 2013 !
(sources : ifm.org)
[Mme Christine Lagarde, DG-FMI]
GABON/FMI
Comme prévu, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a conclu les consultations au titre de l’article IV avec le Gabon le 13 février 2013 dernier. S’il fallait résumer en une seule phrase ce rapport, on dirait qu’à travers les efforts continus de tous les acteurs économiques gabonais, l’avenir s’annonce prometteur… et en adéquation parfaite avec le projet de société du président Ali Bongo Ondimba basé sur l’émergence du pays à l’horizon 2025.
Dans ses conclusions, le FMI affirme en préambule que « les conditions économiques actuelles demeurent favorables » au Gabon. Actuellement, le Gabon « est le quatrième pays d'Afrique subsaharienne » au niveau du revenu par habitant et, « même si l'économie est fortement tributaire du pétrole », les résultats économiques récents du Gabon sont solides. L’une des raisons : « l'activité économique hors pétrole qui a enregistré de bons résultats, en particulier dans les industries extractives, la transformation du bois et la construction, de sorte que la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel a atteint 7 % en 2010–11.» Rien que dans la filière bois, plus de 3000 emplois ont été créés en moins de 3 ans.
Par ailleurs, le FMI souligne que, « malgré une forte hausse des prix alimentaires au milieu de l'année 2012, (…) l’inflation reste maîtrisée et conforme aux critères de convergence de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale, à environ 3 % en moyenne annuelle. » Pour lutter contre la vie chère, le Président gabonais a notamment décidé en septembre 2012 de suspendre les taxes et les droits de douane sur neuf catégories de produits de première nécessité. Une option courageuse qui a déjà produit ses premiers effets positifs ces dernières semaines puisque la courbe des prix s’est inversée.
L’institution souligne également l’augmentation des dépenses publiques de 70% entre 2009 et 2012. Et les « dépenses d'équipement ont triplé, ce qui s'explique par les investissements publics liés au programme de développement économique. » Ces investissements publics, qui vont s’accentuer dans les prochaines années, auront des effets positifs car ils amélioreront « les infrastructures, le climat des affaires et le marché du travail. »
Le rapport souligne une donnée que le Gabon doit prendre en compte : « la possibilité d'un ralentissement de l'activité mondiale qui pourrait engendrer une baisse prolongée des cours du pétrole et du manganèse, à laquelle les autorités devraient faire face avec des amortisseurs budgétaires limités. »
Autre satisfaction soulignée par les rapporteurs : « le lancement d'un plan de développement à long terme qui a pour objectif de faire du Gabon une économie de marché émergente et diversifiée. »
Ce plan, qui contient des « mesures et des réformes ambitieuses » va favoriser une croissance plus solidaire et « mettre en place des volants de sécurité adéquats face à la volatilité des cours du pétrole. » Enfin, le développement du secteur privé est une priorité partagée par le FMI et l’Etat gabonais. Il joue un rôle majeur car il permet de « créer des emplois et de faire reculer la pauvreté. » Idem pour la « lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme » : ce combat fait partie des priorités du gouvernement. L’avenir en confiance : voilà un slogan qui sied bien à ce début d’année 2013 !
(sources : ifm.org)
quand l'utile communie avec l'agréable
Porter la barbe n’est pas seulement une question de mode. Cet attribut pileux protègerait aussi les hommes du cancer de la peau et des crises d’asthme !
Porter une barbe nette et bien fournie n’est pas seulement un attribut de mode masculin. C’est aussi un geste santé qui protège les hommes tout à la fois des attaques de pollen, des rayons UV et même du vieillissement de la peau.La barbe protègerait du cancer de la peauCe sont des dermatologues australiens qui viennent de se pencher sur la pilosité de ces messieurs.
Comme tout un chacun, les chercheurs de l’Université du Queensland avaient noté que les hommes qui portent la barbe et la moustache avaient un tiers du visage qui n’étaient pas exposés aux rayons UV.
Mais ils ont poussé leurs recherches en utilisant un dosimètre de radiation, c’est-à-dire un appareil dosant les radiations ultraviolettes qui passent à travers le barbe.
Ils se sont ainsi aperçus qu’une barbe fait barrage à 90 à 95% des rayons UV : "C’est un peu comme un indice SPF, plus la barbe est fournie, plus l’indice est élevé", expliquent les dermatos. "Les rayons UV frappent en ligne droite. Mais lorsqu’ils se heurtent à la barbe, les rayons se brisent et n’atteignent pas la peau."
Mais, en cette période où les pollens commencent à se disséminer dans l’air, la barbe (et la moustache) ont une autre utilité : elles empêchent en effet une partie des grains de pollens qui circulent dans l’air de pénétrer dans les voies aériennes supérieures, et protègent ainsi les hommes des crises d’asthme provoquées par les allergènes.
Par ailleurs, en servant de barrière de protection contre les agressions extérieures, la barbe permet également à la peau de rester hydratée… et donc de vieillir moins vite. "Les poils de barbe ne protègent pas seulement des rayons UV, ils servent également de barrière au froid et au vent, comme le ferait une écharpe.
" Retrouvez cet article sur Topsante.mondadori.com
Insolite : les avantages d’être polyamoureux
Insolite : un tatouage pour connaître son état de santé
africanostra le 21-02-2013 à 22:07:34 # (site)
Mais voilà ce qu'il ya de mieux pour donner un new look à votre homme tout en renforçant vos mesures d'hygiène! T'ai-je déjà présenté mes voeux de Parfaite Hygiène ou de Santé pour 2013? Si non, en voici l'occasion. Bonne Santé! Africanostra
Objectif stratégique n° 1
INSTAURER UN NOUVEAU MODELE DE DEVELOPPEMENT QUI INTEGRE LE BIEN-ETRE HUMAIN, L'EQUITE SOCIALE, LA CROISSANCE DURABLE ET LA CONSERVATION DE L'ENVIRONNEMENT
Il s'agit-là des quatre (4) axes du Développement Durable.
EN CREANT UN MINISTERE DE L'ECONOMIE, DE L'EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (MEEDD), LE CHEF DE L'ETAT ENTEND DONNER CORPS A CE DEFI.
[SEM Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l'Etat]
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[M. Luc OYOUBI, Ministre de l'Economie, de l'Emploi et du Développement Durable, en masque blanc à gauche]
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