La boisson préférée des passagers en plein vol
Retour sur un des plus grands mystères culinaires du transport aérien.
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Vous demandez systématiquement un jus de tomate lorsque vous prenez l'avion mais n'auriez jamais l'idée d'en commander un au bar ou, pire, d'en acheter une brique en supermarché? Une chose est sûre, vous n'êtes pas seul. Mais d'où peut bien venir cette étrange habitude?
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Le mystérieux phénomène est bien connu des hôtesses de l'air et des stewards. Delphine Baud-Sourty, chef de cabine chez Air France depuis 25 ans, résume la situation:
«Comme ils ne prennent pas souvent l'avion, les passagers veulent quelque chose d'original. Le jus d'orange est trop banal, les sodas trop sucrés... En voyant le jus de tomate arriver sur le chariot, ils sont curieux. C'est l'occasion d'essayer ce qu'il ne feront jamais ailleurs!»
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Autre argument de l'hôtesse de l'air:
«En vol, on a souvent faim. Le jus de tomate est plus nourrissant que les autres boissons.»
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Sur internet, les forums de discussions s'enflamment pour ce «mystère de la tomate» et développent avec humour les théories les plus loufoques: le jus de tomate, proche en texture de la bouillie pour bébé, remplacerait-il le soutien maternel qui manque aux passagers angoissés?
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Permettrait-il d'exorciser la peur du crash en buvant un transfert de son propre sang, comme Jésus lors de son dernier repas?
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Ou bien assiste-t-on, impuissants, au complot des fabricants de jus de tomate qui, pour écouler leurs stocks d'invendus, auraient passé un accord secret avec les compagnies aériennes?
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«Odeur agréable, douce et fruitée»
La question divertit beaucoup les internautes mais passionne aussi les scientifiques. Deux études différentes se sont penchées sur le sujet ces dernières années.
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Les femmes font-elles l'amour par amour?
Chaque mois, Catherine Blanc, sexologue et psychanalyste, revisite un préjugé en matière de sexualité.
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Si l’on imagine le sexe féminin comme un nid que le pénis va visiter pour y faire sa place et laisser son empreinte, on comprend mieux que la femme, plus que l’homme, ait besoin d’établir une relation de confiance. Rien de tel, donc, que la tendresse, et plus encore l’amour et la curieuse idée de connaître l’autre parfaitement au nom de ce sentiment, pour se sentir en sécurité à la perspective du coït.
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S’ajoute à cela l’interdit séculaire du désir féminin, suspecté d’être vorace et insatiable. La société s’est appliquée à le circonscrire, à le réduire à l’expression d’un devoir conjugal bienveillant. Ce qui permet à l’homme d’oser sans crainte fréquenter sa partenaire.
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Au nom de l’amour, sentiment noble plébiscité par la société, la femme s’autorise à désirer, refoulant ce qu’elle craint de pulsionnel et d’animal en elle. Tout à son sentiment bienveillant, elle s’assure la sérénité masculine, la pérennité de la relation, voire la poursuite de ses projets de maternité. C’est donc au nom de l’amour que la femme s’offre, et non de son désir et ce qu’il révèle de fantasmes tapis dans l’ombre. Mais ne se piège-t-elle pas elle-même ?
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L’histoire devient cocasse lorsque celle qui est envisagée sans ambition sexuelle personnelle commet une infidélité. Comme au Scrabble, elle voit son sacrilège compter double puisqu’elle est à la fois désirante et enamourée. Dans la même situation, son partenaire arguerait que « cette histoire ne compte pas » et serait considéré comme plus excusable.
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Décidément, le désir féminin n’en finit pas d’être coupable ! Faut-il que la femme soit réduite et se réduise à sa vocation altruiste – répondre aux besoins de l’homme, à ceux de ses enfants – pour imaginer qu’elle ne puisse ambitionner son seul plaisir sexuel ? La femme désirante, curieuse de ses capacités érotiques, serait-elle une mauvaise mère ? Coupable, donc. À défaut d’une « (...) Lire la suite de l'article sur psychologies.com
21 Juillet 2012
21 Juillet 2014
Mort du Professeur NDJEME BENGA Joachim-Serge
J'ai besoin de toi!
Papa, nous avons eu la vie
que nous avons choisie:
naître pauvres,
vivres sobres.
Nous avons tous peiné
du privilège d'être aîné;
et tu m'as laissé en héritage
une masse de biens sans partage.
Cette succession en indivision
est le fruit de ta haute vision,
de ton sens élevé de la famille,
sur laquelle ta sainte étoile scintille.
Mais comme l'oisillon vacillant dans le nid,
j'ai besoin de la chaleur de ton esprit;
j'ai besoin de toi, Papa, pour parfaire
le classement de toutes mes affaires.
Comme l'animal immolé appelle son créateur
à l'aide, j'ai besoin de toi, ô père géniteur,
pour apaiser mon esprit des tortures
de la brutalité grandissante de mère nature!
Tu ne resteras plus longtemps dans la nuit
qui t'a dérobé à notre affection ou dans l'ennui
d'une hypothétique résurrection en cet anniversaire
de ta triste disparition sous notre boulimique Terre.
Tu dois désormais vivre définitivement,
non pas dans le lointain firmament!
TU dois vivre au coeur de ta famille,
pour qu'elle ne s'éparpille!
Ton fils Aîné.
Ovèndo, le 21 Juillet 2014.
africanostra le 25-07-2014 à 13:27:56 # (site)
Mon cher Louis, défenseur insoumis de la valeur famille, merci tout plein!
Pierre EMBONI était un homme accompli
(ici, méditant sur la solution idéale à un problème de famille)
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(Ici, en conciliabule avec sa soeur, face à un problème familial)
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Passionné de Culture, dans laquelle il a offert au Gabon ses premières palmes à Lomé, aucours d'une compétition internationale, avec son titre phare "Kombé" (le prince).
Elevé aux plus hautes charges de la Haute Administration Gabonaise, où il a atteint le sommet en tant qu'Administrateur Civil en chef.
Nommé aux plus hautes fonctions du Gouvernement, en qualité de Ministre de la Jeunesse et des Sports, alors qu'il n'en demandait pas tant.
Elu, sans efforts, Maire d'Arrondissement dans sa chère ville natale de Makokou et Sénateur au Parlement Gabonais.
Puis, totalement abandonné à Jésus-Christ au crépuscule de sa vie.
Grand batisseur.
Grand rassembleur.
Grand Maître de la Parole.
Un Patriarche s'en est allé.
Que la terre de nos ancêtres lui soit légère!
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